Entre la journée de la gentillesse et la journée des droits pour les enfants,
je pense demander l’award de la blogueuse la plus raccord avec les journée de…!
Allez, des bisous à tous, et bonne fin de semaine ! :B
Entre la journée de la gentillesse et la journée des droits pour les enfants,
je pense demander l’award de la blogueuse la plus raccord avec les journée de…!
Allez, des bisous à tous, et bonne fin de semaine ! :B
Hahahahaha ! Tellement vrai !
Perso, je trouve que ma vie en tant « qu’adulte » ou « jeune femme » est beaucoup plus facile que celle de quand j’étais petite. Enfin, ce que je veux dire, c’est qu’on a peut être pas les même soucis, mais on a pas les mêmes armes non plus 🙂
Oui ! Exactement 😀 Le truc du poids et de la mesure en somme !
à chaque âge ses phrases. Adultes, on peut entendre « tu oublieras », « tu en trouveras d’autres », « il était temps qu’elle parte… », et les cartes pour fuir tout ça sont parfois dures à tirer.
Oui c’est si vrai… En tant que maman, je m’intéresse à la communication non-violente et à la bienveillance pour éviter justement (entr’autres) toutes ces phrases… Et quand on y regarde de plus près, les adultes disent tellement de choses terribles aux enfants. L’essentiel est d’en prendre conscience et de tenter d’y remédier. 😉
Moi j’ai eu droit chaque fois que je pleurais à un joli « Ohlalaaaaaaa… T’en verras d’autres, dans ta vie d’femme ! ».
Ce qui n’est pas totalement faux, mais carrément angoissant sur les questions que tu peux te poser sur ton éventuel futur de femme. Longtemps, j’ai cru que j’allais devoir tuer des animaux (ou commettre n’importe quelle cruauté) comme rite de passage.
Ouais. Mon petit cerveau était déjà bien ravagé XD
Comme je me retrouve dans ce que tu dis…
Je ne suis pas encore totalement indépendante malgré mes 24 ans mais j’ai le sentiments que ma liberté est à porté de main, ce qui ne m’est jamais arrivé avant.
Ok, quand on est enfant on dit ce qu’on veut et on a rien à payer.
Mais on ne peut rien faire par nous même et ne rien décider réellement.
Je ne me sens pas encore totalement adulte n’ayant pas de travail fixe, pas encore le permis de conduite et surtout car j’habite encore chez mes parents.
Mais en tous cas j’ai hâte d’être enfin « libre ».