OUI, je suis une grosse reloue. Non, sérieux, j’ai mis plus de 6 mois à oser vider la valise qui contenait mes travaux de diplôme de septembre dernier.
Elle gisait donc là, sous mon bureau.
Mais je ne pouvais me résoudre à tourner la page. Non-non-non.
Là ça va mieux, avec Manga-sur-Loire j’ai pu ranger tout ça. Mais c’était difficile, hein. Donc je vous raconte pas le temps que je vais garder mon badge du staff de la convention accroché à mon sac.
Une dépression post partum^^
Salut!
Je comprends tellement cela que j’ai rit aux larmes en lisant ce post! Par exemple, pour m’inscrire à la maîtrise je devais créer une esquisse de projet et pour cela j’ai bossé comme une dingue pendant des semaines, à affiner mon projet, le tordre parfois même et un coup donné, je ne suis même pas vraiment contente d’être admise à la maîtrise, je suis comme en down d’avoir terminé cette esquisse.
Sur ce, prompt rétablissement et vivement un nouveau projet tout frais et tout doré!
Olive xox
Le syndrome du ballon de baudruche ! 😀
« Pfiouuuuut » On est ridicule en plus quand on est down en plus , je suis sure 😉
Bon courage pour la suite alors, plein de beaux projets à toi aussi !
« la descente des artistes » : on appelle ça comme ça à ce qu’il paraît ^^
Sérieux je suis pareille, je pensais ne pas être normale, mais quand j’ai fini un gros truc je me sens trop désemparée, je suis « vide » c’est bien le terme 🙂 Je reste hagarde en pyjama 2 jours à zoner snas savoir quoi faire et puis ça repars oui 🙂
J’adore comment tu représentes les projets, c’est chou 🙂
Bizoos !
En poussant des râles ?
Genre « Meeeeeh » ?
😀
Bon courage 😉
Le pire c’est que c’est tout à fait ça !!!! Je pensais être aussi la seule dans ce cas là, mais je suis rassurée maintenant ! Terminer un projet, on a quelques instants d »euphorie et d’un coup on est triste… Comme si une part de nous était terminé. Et puis un nouveau projet arrive, et d’un coup on est comme un enfant, on ne sait pas par quel bout le prendre. Il faut trier, rassembler les idées… Et puis au bout d’un moment on ne vit que pour ça. Et le cercle recommence.
Très bon article, et tes dessins sont magnifiques.
Ah, oui. Il faudrait que je fasse l’inverse aussi. Parler du nouveau projet qui arrive et qui nous submerge tant il parait irréalisable.
« Diantre, je vais jamais y arriver » 😉
Un projet ça fatigue grave et on s’y investit à fond. Normal que la finalité engendre un vide. En tout cas bonnes planches. J’adore la représentation que tu fais de cette sensation.
C’est normal de se sentir vidé quand on boucle un projet, en tout cas j’adore la représentation que tu en as faite !
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