Moyenne

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Héhéhé.
Kikoo.

Bon, en vrai mes bulletins n’étaient pas que tout noirs,
il y avait du bon, mais psychologiquement je me sens plus proche
du mauvais élève que de la tête de classe.
Et c’est pas tellement un « problème » d’école, en vrai. J’ai vu des
personnes lambda — parents ou non — dénigrer les enfants avec
des résultats scolaires faibles ou moyens.
C’est dommage. Dommage pour ces enfants à qui les
prédictions arriveront peut-être aux oreilles
avec on ne sait quelles conséquences.

Sinon tout s’enchaîne assez vite en ce moment,
on espère que 2016 sera cool avec nous
(n’hésitez pas à croiser vos petits doigts
si vous nous souhaitez la même chose, ahah).

J’ai lu pas mal de trucs vraiment chouettes au fait pour cette note (et d’autres moins),
je vous donne quelques pistes de ce qui est cité ou non :

– Sens du travail et travail du sens à l’école
– Le genre d’article qui me donne le vomi : Élèves «moyens»:
«Aujourd’hui, il vaut mieux un bon CAP plutôt qu’un BAC+3»
– Une analyse d’un livre qui a l’air chouette à lire
(Donner du sens à l’école. DEVELAY, Michel. Donner du sens à l’Ecole)
(Attention, c’est du .doc)
– Le déterminisme (Wikipédia)
– La pédagogie différenciée (Wikipédia toujours)

25 réflexions au sujet de « Moyenne »

  1. Thorax

    Comme très souvent j’aime beaucoup la façon dont tu présentes tes notes. Je vais montrer celle-ci à mes ami.e.s profs et j’espère que ça les aidera à changer de discours

    En tout cas pour beaucoup de petits lecteurs ton blog représente des choses très cool, beaucoup de bienveillance, une forme de positivité qui est consciente des limites qui lui sont imposées, des pistes de réflexion…
    Ceci est un commentaire peu constructif, je voulais juste laisser une trace positive ici parce que ça m’a fait plaisir de te lire. Tu as tous mes encouragements!

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  2. Julie

    Bonjour! J’ai beaucoup aimé ta réflexion sur le « sens » de l’école. Personnellement j’ai souvent été dans ce qu’on appellerait la « tête de classe » pour les matières littéraires, mais pour les sciences… Aïe. Sans doute parce que je n’y trouvais pas de « sens ». Mais j’ai eu la chance d’avoir des professeurs qui ne m’ont pas lâchée en cours de route. Si tous agissaient comme ça, aucun élève n’aurait à se sentir « moyen ».

    Avec tous mes encouragements pour la suite! 🙂

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  3. Booklette

    Pour moi, tout se résume à cette phrase d’Einstein  » Tout le monde est un génie. Mais si vous jugez un poisson par sa capacité à grimper aux arbres, il passera sa vie entière persuadé qu’il est totalement stupide »

    N’oublions pas qu’Einstein était moyen en maths, à l’école 😉

    Je regrette qu’on n’apprenne pas plus aux enfants à se débrouiller dans la vie, plutôt qu’à briller dans une partie de Trivial Pursuit…. On apprend les équations à 2 inconnues, le théorème de Pythagore, le tableau des éléments, les guerres à l’année près (Ok je sais, il faut savoir d’où on vient… mais peut être est-ce trop tôt..?), et on n’apprend ni à remplir un chèque, ni à repriser un vêtement, ni à cuisiner, enfin, des choses pratiques, qui servent dans la vie de tous les jours….

    Bref……. *soupir*

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  4. Un petit caillou

    Comme d’habitude très agréable et intéressant. Tu as toujours cette qualité d’écriture et ce dessin qui te rend agréable à lire et à regarder.
    Je rejoins Booklette sur beaucoup de points.
    Par contre la génération actuellement au collège et au lycée est flippante. Je suis contre l’idée de rabaisser les élèves, chacun trouvera sa voie et un Bac pro vaut un Bac, simplement on a prit un chemin différent.
    Par contre ils ne s’intéressent à rien, n’ont aucune curiosité par eux-même. Certes si on les stimule ils pourraient trouver quelque chose intéressant mais c’est ponctuel. Je suis choqué de voir leur peu de respect envers l’enseignant et leur manque de reflexion. Qu’un élève ne sache pas quelque chose passe mais un simple exemple de ce que je veux dire : Mon frère est prof d’SVT et parmi les perles de ses élèves on a fréquemment des absurdités du niveau de « les organes passent par le sang » tout en parlant bien d’un organe hein c’est pas une bourde comme ça. Je veux bien qu’on remette en cause l’intérêt que propose l’école mais il y a des limites. On ne peux laisser passer de ne s’intéresser à rien et de ne jamais mettre deux neurones en activité à la fois dès qu’on ferme facebook et compagnie.
    Je pense que si tu te trouves moyenne tout du moins tu étais capable de t’intéresser au monde qui t’entoure.
    Je terminerai par dire que d’expérience d’élèves cotoyés par mes activités et mon travail, certes on a du mal à trouver un but à ce qu’on apprend et à se trouver soi un but dans la vie mais eux ne cherchent même pas. Ils sont comme hors du temps, archiconnectés au monde et pourtant tellement déconnectés de la réalité.
    Pavé César !! Déolé ^^

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  5. Lipsy

    Je suis professeur et tu as toute la légitimité qui peut exister pour écrire cette note. Au contraire expliquez-nous, tous, comment vous fonctionnez, ce que vous ressentez, c’est parfois difficile de se mettre à la place d’un élève, d’avoir sa vision des choses, de comprendre sa manière de penser (car c’est tellement unique).
    Aucun élève, maintenant adultes, n’a eu l’impression d’avoir fait sa scolarité à fond. Tout le monde a eu un moment donné c’est dit : mais merde si j’étais à l’école aujourd’hui j’agirais différemment. C’est normal et ton impression de n’avoir rien appris est fausse : tu sais il n’y a pas que le savoir (oui je sais que tu sais) mais ce que je veux dire c’est que les professeurs le savent aussi (enfin une partie^^) et l’objectif principal de l’école n’est pas le savoir (enfin pour moi)
    Et puis pour finir ce long commentaire (qui doit avoir quelques fautes d’orthographe 😉 ) personne n’est moyen, ce terme n’existe pas et ne signifie rien, c’est comme « avoir la moyenne » qui est un terme franco-français des plus idiots. Si tu es intéressé par les intelligences multiples il y a Howard Gardner : très très intéressant.
    question bonus : alors ça fait quoi d’apprendre des choses aux profs

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  6. wissy

    Hello,

    J’ai beaucoup aimé cette note et étrangement je m’y retrouve quand même alors que j’étais ce qu’on pourrait appeler une « tête de classe », toujours première ou deuxième et avec des résultats à « rendre fiers les parents ». Et pourtant je n’arrivais pas non plus à trouver du « sens » à tout ça, ni à avoir de vraie motivation.. J’avais juste plus de stress peut-être, et une forme de pression non-dite de mes parents d’être « la meilleure » (ou que je me mettais moi-même).. je n’ai pas du tout eu l’impression de faire quelque chose d’utile ou d’intéressant pendant toutes ces années en tout cas.. Je voyais ça comme une sorte de travaux d’hercule à accomplir avant de pouvoir entrer dans la vraie vie et d’avoir enfin le droit d’arrêter avec tous ces devoirs, examens, stress et profs.. Il ne faut pas s’imaginer que les bons élèves aiment l’école.. Donc je pense qu’il ne s’agit pas vraiment de notes mais plutôt de système scolaire en effet..

    Au plaisir de continuer à te lire!

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  7. ElZ

    Salut ! Ici l’inverse, académiquement brillante mais supra (et multi)-névrosée. Comme quoi, mieux vaut être bien dans ses pompes que de savoir répondre à une question de culture gé, c’est clair… Jolie note 😉

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  8. Marianne

    Petit grain de sable pour ajouter un peu de positif, j’entame un second master et de ce que j’ai vu pendant mes années d’études c’est qu’on retrouve en études supérieures des élèves considérés au lycée et au collège comme étant « à problème », « en echec » d’un point de vue comportement mais aussi au niveau des résultats scolaire. Ces personnes là s’avèrent ensuite être très brillants (voire les plus brillants) dans leur domaine une fois passé le cadre abominable du lycée, mais tous disent par contre avoir eu au moins une personne à un moment qui leur a dit qu’iels n’étaient pas « perdu » contrairement aux autres sons de cloches qui leur rappelaient sans cesse qu’iels ne feraient rien de leur vie. Helas quand les difficultés apparaissent tôt certains élèves sont condamnés par leur entourage (famille, milieu scolaire) et ne jouissent pas de la chance de se spécialiser dans le domaine dans lequel iels sont doués, faut dire que lycée et collège peuvent être une véritable torture psychologique étendue sur des années.

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  9. Kozoh

    Bonjour.

    Cette note est très intéressante, mais revient sur une regrettable confusion : le prof ne note pas une personne, mais son travail à un instant T. Ce n’est pas faute de le dire et redire, pourtant ; mais pour beaucoup, la note est prise personnellement. Il faut aussi voir le fait que tel ou tel prof ne revient pas (lui/elle ou sa façon de faire), alors que… « C’est l’histoire, pas celui qui raconte »…

    Le savoir est au coeur de ce que nous transmettons. Tout ne sert pas dans la vraie vie ; au moins le fait d’avoir des bases permet -on l’espère tellement- de prendre du recul et de ne pas se contenter d’être un(e) simple consommateur(-trice). Mais il est vrai que ça demande du temps et du travail sur le long terme, valeurs qui ne sont guère portées le culte du plaisir immédiat et assouvi… Ce contre quoi tout prof a lutté un jour ou l’autre.

    Ajoutons à cela la tendance de plus en plus répandue du comportement de consommateur ; deux exemples :
    – Je suis en 2de, je compte passer en 1ère STMG, je n’ai plus besoin des maths. Pourquoi alors s’ennuyer à travailler dans cette matière ?
    – j’ai relu le cours, j’y ai passé du temps : j’ai donc droit à une bonne note, que j’aie commis un hors-sujet ou non.
    Dans cette perspective, les parents suivent et demandent parfois de comptes. Ce qui devient pesant aussi.

    Bref… On fait ce qu’on peut pour motiver nos élèves et provoquer l’étincelle, en n’étant pourtant guère soutenus par nos hiérarchies et regardés de haut par une partie de la population -la même qui préfère les stars décérébrées du ballon ou de la TV. Ce qui n’est pas facile…

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  11. Stern

    Salut! Je suis totalement d’accord avec toi et nous ne sommes pas les seules. Si tu as envie d’un peu de lecture, la philosophe Marie Agostini a écrit un livre, « les enfants et la philosophie » aux éditions les Forges de Vulcain. Je cite l’intro : « En quoi l’apprentissage du philosopher peut-il apporter un début de solution à l’échec scolaire? Nous tenterons de montrer que l’organisation d’échanges réflexifs mettant en dialogue non seulement les élèves entre eux, mais encore les élèves avec l’enseignant, offre la possibilité aux élèves de comprendre l’importance de leur investissement dans le travail scolaire, d’en comprendre les implications, les tenants et aboutissants. De même, cet échange permet à l’enseignant de mieux saisir la personnalité et l’histoire de chacun de ses élèves et ainsi de proposer des pistes de réflexion pour les aider à surmonter au mieux leurs difficultés. Se sentant intégré dans un tout, capable de comprendre et de se faire comprendre, l’élève comprend qu’il est capable. Les pratiques philosophiques forment, à notre avis, le terreau où la motivation pour persévérer dans le travail scolaire prend racine. » (p.11)

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  13. Youpi

    Moyenne…
    Dans les matières qui m’intéressaient, j’avais plus que la moyenne. Dans les autres, j’avais… la moyenne. Suffisamment pour ne pas avoir de soucis, suffisamment pour ne pas faire trop d’efforts.
    Avoir la moyenne, c’est que ça ne te branchait pas. Mais que tu étais assez intelligente pour qu’on te fiche la paix :).
    Le trivial poursuite?
    La bonne nouvelle, c’est que tant que tu n’es pas bien enfoncée dans alzeihmer, tu peux apprendre de nouveaux trucs. D’autant qu’avec Internet, toutes les bibliothèques sont à un porté de clic. Plus besoin de farfouiller dans une biblio universitaire. A toi les camemberts acquis! :D.

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  15. bohwaz

    Je suggère de lire Ivan Illich aussi, c’est un peu vieux mais toujours d’actualité, ça explique bien pourquoi l’école en général est une mauvaise idée (Une société sans école).

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  16. Jean-No

    Lundi, je suis retourné dans mon collège.
    Je n’y avais pas mis les pieds depuis longtemps, à part pour une rencontre avec les profs de mes enfants.
    J’ai pris un plaisir assez tordu à raconter que j’avais passer le collège à m’ennuyer, qu’on m’avait fait redoubler, puis envoyer en lycée professionnel, où j’ai raté mon CAP. Mais qu’à force de prendre du plaisir dans ce que je fais, et sans être un bûcheur, j’ai réussi deux trois trucs (justement ce pour quoi on m’avait invité à venir parler)
    😉

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  17. Es

    Bonjour,

    j’avais lu cette note à la parution, et son contenu m’avait un peu dérangée (le début, en tout cas), mais j’avais été trop fainéante pour y répondre.

    Dans un premier temps, je voudrais dire que la distincion est importante entre « ensemble moyen » ce qui signifie que les résultats obtenus dans une matière donnée sont… moyens, ni juls ni bon, et la personne moyenne, la personne sans intérêt.
    Qu’on demande plsu de travail quand il n’y en a pas assez, ou davantage d’investissement, ça ne me semble pas dérangeant. Tout le mone a été moyen ou nul soit à l’école, soit en sport, soit en motricité, soit dans la dimensiona rtistique, et tout le monde a du faire face à cela. Certes, c’est désagréable, mais bien plus constructif que la valorisation à outrance ou le concept de »bienveillance » qui est sain à la base, mais qui, poussé à outrance, tourne à la malveillance. J’ai connu (en tant que collègues) des profs qui s’effoçaient de toujours faire paser le positif d’abord, et les adolescents, en se fourvoyant sur leur niveau (pourquoi bosser davantage si le prof trouve que je travaille déjà bien voire très bien ?) ont tout simplement reculé pour mieux sauter, quand en fin de compte ils ont réalisé que NO, ils n’étaient pas de cadors dans telle matière, et qu’à force de ne pas s’alarmer et de ne pas suffisamment travailler, le retard allait être difficile ou impossible à rattraper (et les bonnes habitudes de travail et d’effort sont bien compliquées à prendre lorsqu' »on s’est habitué à ne pas ou presque pas bosser).

    En outre, en lisant tes notes, on voit que tu maîtrises assez bien ta langue maternelle pour t’exprimer clairement et correctement, que même si tu as sans doute oublié des tas de choses, tu es loin d’être inculte, et que tu t’intéresses à plein de choses. Crois-moi, quand tu entends des profs ou des adultes dénigrer les jeunes en employant les phrases citées dans ton post, on ne parle pas de toi, pas d’élèves comme toi.

    « Regard ce qu’ils ont écrit » : ben oui. Ce n’est pas tant une critique du jeune, pour le coup, mais plus un état des lieux assez consternant de nos programmes depuis quelques dizaines d’années (qui, depuis environ notre naissance, tendent de moins en moins à cette transmission des savoirs pure et dure que tu sembles dénigrer, de plus en plus vers l’objectif de « donner du sens » aux apprentissages, comme quoi, entre la théorie et la pratique, niveau efficacité et pertinence, il y a un gouffre).

    « Ils sont creux » : on parle d’ados qui ont Facebook et un smartphone depuis l’âge de 9 ans. De jeunes qui, au lieu de lire ou de jouer, dès a fin du primaire, passent leur temps à commenter des conneries sur des réseaux sociaux utilisés de manière la plus gratuite et inintéressante possible. C’est chronophage, addictif et abrutissant au possible. Bizarrement, les quelques enfants et ados qui n’ont pas ce genre de gadgets au collège (et ceux dont les parents contrôlent et limitent très fermement l’utilisation) sont ceux qui sont les plus ouvert d’esprit, les plus capables de se concentrer et de s’investir dans le travail, et surtout, d’accepter que parfois, on ne réussit pas du premier coup et on ne comprend pas tout tout de suite (mais qu’en persévérant, on a davantage de chances d’y arriver. Quand d’autre ne vont même pas essayer de faire un exo juste parce qu’il faut répondre par une phrase complète (et que c’est trop long trop fastidieux, quand même, c’est abusé).
    Ce n’est malheureusement pas la faute des gamins. Simplement, l’école ne pourra jamais se substituer (et n’est d’ailleurs pas vouée à le faire) aux parents, à la pub, à la société toute entière.

    Ils sont médiocres : plus les programmes de primaire seront parasités par plein de conneries, moins on aidera les enfants à former leurs cerveaux, à prendre des automatismes, etc. En sport, ou dans la pratique des instruments de musique, on admet très bien qu’il faut donner du temps au temps, et que c’est à force de faire des dizaines voire des centaines de fois le même geste qu’on le fait suffisamment bien, que ça devient intuitif. A l’école, on n’a plus le droit, parce que c’est « ennuyeux » et « pas porteur de sens ». on explique, on a le temps d’un ou deux petits exos d’applications, et pouf, il faut déjà passer à la suite.

    J’aimerais croire que les élèves ont toute leur vie pour évoluer. Certains, oui. Ceux qui ressortiront de nos bancs avec des bases suffisamment solides, ceux dont les parents auront fait les bons choix.
    Ceux, également, qui ont appris à faire des efforts, parce que les parents les ont fait travailler un minimum, soit tout simplement en s’assurant que les devoirs étaient bien faits en temps et en heure (pour les enfants qui ont besoin d’être suivis, ce qui n’est pas le cas de tous les mêmes), soit en les faisant participer aux tâches ménagères, au moins un peu).
    Malheureusement, ceux qui n’ont pas des parents suffisamment volontaires ou capables (pour pleins de raisons, parfois légitimes) de les guider dans la bonne directions, ceux qui auront passé leur enfance entre TF1, facebook et les diverses applications débiles de leurs joujoux électroniques, ou à écouter des rappeurs débiter la haine et la misogynie, ou de clips musicaux qui imprimeront dans leur esprit que pour être une vraie fille, il faut se saper en pute et allumer les mecs, tu me pardonneras, s’il te plaît, d’être beaucoup moins optimistes à leur sujet.

    (du reste, si tu veux en discuter, je suppose que tu as mon mail)

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    1. Marie-Eve

      Roh, personne ne t’a répondu, mais si un jour tu repasses par ici : ton commentaire ne s’est pas perdu dans l’espace intersidéral, je le trouve profondément juste.

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